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Dans cette série d'oeuvres, aussi bien faites de cendre et de crayon, ou de laque, Tony Guillois aborde ses sujets dans ce qui, à chaque instant, les éloigne un peu plus du vivant, de la promesse d'un avenir possible. Comme si l'artiste voulait nous parler d'âme. Ossatures, limbes de l'être, les corps sont décharnés, disloqués.
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Ces oeuvres expriment une sorte de désespérance. Comme un état second. Il n'y a pas de combat, pas de lutte. Peut être même une certaine sérénité de ne plus avoir à chercher. Ces toiles ont été présentées à la galerie lors de l'exposition "Le ventre des philosophes" avec Michel Onfray. Peut être un refus... de la souffrance qu'il est en mesure d'engendrer... |
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